De Paris à Melbourne, offrez-vous un voyage au cœur de la culture aborigène !

Si Melbourne, avec ses influences venues du monde entier, incarne la ville cosmopolite par excellence, les occasions de découvrir la culture aborigène y sont nombreuses! Habitants originels de l’Australie, les Aborigènes fascinent par la richesse de leur culture et leur prodigieuse connaissance de la nature locale. Profitez de votre séjour pour en prendre toute la mesure : de nombreux lieux témoignent de leur héritage, aussi captivant qu’éblouissant…Marchez sur les traces des premiers Australiens, et émerveillez-vous à chaque pas ! Randonnez au cœur d’un cratère de volcan éteint dans la réserve naturelle de Tower Hill, arpentez le Parc National des Grampians, son Centre Culturel Brambuk et ses peintures rupestres, partez à la rencontre des Aborigènes de Kulin et découvrez les nombreux sites historiques de la région, dont certains datent de 30000 ans : vous saurez tout sur la culture aborigène à travers les époques ainsi que sur la faune et la flore locales !

Admirez l’art aborigène sous toutes ses formes, et faites le plein d’images extraordinaires ! Au Melbourne Museum avec le Bunjilaka Aboriginal Cultural Centre ou dans les nombreuses galeries de la ville et des alentours, œuvres et autres objets d’art racontent l’histoire de ce peuple incroyable. Dédié à l’art contemporain, le Koorie Heritage Trust a pour but de préserver et promouvoir les traditions indigènes. Abordez-les également sous un angle végétal, aux Royal Botanic Gardens, ou gourmand, au Tjanabi restaurant !

Prolongez cette découverte au musée du Quai Branly à Paris, avec l’exposition Aux sources de la peinture aborigène, Australie – Tjukurrtjanu du 9 octobre 2012 au 20 janvier 2013. L’exposition présente un mouvement artistique majeur, né en 1971 dans la communauté de Papunya, au cœur du désert central australien. Avec près de 200 peintures et 70 objets, elle dévoile les sources iconographiques et spirituelles du mouvement de Papunya, et retrace son évolution, depuis les premiers panneaux recyclés jusqu’aux grandes toiles du début des années 80, qui frappent par leur intensité brute, la plénitude du geste, et leur énergie visuelle.